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27 octobre 2008

Drogues et petits meurtres entres amis...(premier jet)

Tous les jours, ou presque, depuis 4 ans, j'étudie la biologie et la neuroscience (j'essaie!) et c'est pour cette raison qu'en tant que personne consciente, en tant qu'ami et en tant que scientifique, je me dois de vous faire part d'information concernant les drogues!
Evidement je ne veux pas ici, convaincre quiconque de prendre ou de ne pas prendre de drogue, je veux juste essayer d'informer pour que chacun soit conscient de ce qu'il fait! D'ailleur ceux qui me connaissent savent que je suis pas du genre moralisateur, enfin je ne le suis plus depuis que j'ai appris que mon meilleur pot de collège fume des joins; il m'avait caché ce details parce qu'il savait que, à l'époque, j'aurai mal reagi et il avait raisons! Quand j'ai compris qu'il fumait, quelques années aprés, j'ai bien compris que c'etait mon comportement moralisateur qui l'avait empéché de me le dire à l'époque! Maintenant j'essaie de ne plus porter de jugement et je me contente d'observer, d'observer les comportements des gents qui m'entourent!
Tous d'abord il convient de définir une "drogue": Le terme « drogue » recouvre essentiellement deux aspects : la nature des effets biologiques que la drogue induit d'une part, et d'autre part les rapports que celui qui la consomme entretient avec elle. On peut donc penser que c'est le consommateur (à travers ses modes de consommation), plus que le produit qui détermine quelle substance sera, pour lui, une drogue. Cette définition est évidement incomplète car une
drogue est aussi un composé chimique ou biochimique capable d'altérer une ou plusieurs activités intraneuronales et/ou de perturber les communications interneuronales. L'homme a reconnu les effets, les pouvoirs de ces drogues et les utilisent afin de modifier ses fonctions physiologiques ou psychiques, ses réactions physiologiques et ses états de conscience. Certaines drogues peuvent engendrer une dépendance physique ou psychologique. L'usage de celles-ci peut avoir pour conséquences des perturbations physiques ou mentales. Un autres élément permettant de définir une drogue sont les normes imposées par une société donnée. Ces différents éléments permettent d'appréhender la drogue comme un phénomène de société.
En France, l'Académie Nationnale de médecine adopte la définition suivante du terme drogue :« Substance naturelle ou de synthèse dont les effets psychotropes suscitent des sensations
apparentées au plaisir, incitant à un usage répétitif qui conduit à instaurer la permanence de cet effet et à prévenir les troubles psychiques (dépendance psychique), voire même physiques (dépendance physique), survenant à l'arrêt de cette consommation qui, de ce fait, s'est muée en besoin. »
Notons que la notion de dépendance "physique" ou "psychique" est difficile à discerner puisqu'une dépendance "psychique" est le résultas d'une modiffication physique du fonctionnement du système nerveux (une drogue modifie les mécanismes métaboliques, fait varier les "seuils" de l'homéostasie...); c'est cette modification physiologique qui altère le jugement face à cette mème drogue en  induisant un mécanisme de dépendance et de troubles du comportement modulant positivement l'acte de rechute. Pour faire simple: "tu prend une drogue, elle fait son effet et c'est positif à trés court terme (de l'ordre de quelque seconde pour certaine à quelques heures pour d'autres) puis les modiffications qu'elle a engendrée au niveau physique (je parle là des modiffications physiologiques cérébrales) te disent sous forme de messages chimiques "c'etait bon et si tu en reprend ce sera encore meilleur" mais évidement personne ne peut dire "quand" son cerveau lui dit "quoi faire" et donc ce mécanisme est loin d'être conscient malgrés l'état de conscience du fait que la prise de drogue est addictongène."
Il est donc indispensable de discerner deux choses: d'une part, ce que l'on sait, ce que l'on ressent face à une drogue et d'autre part le fait que l'on ne peut pas savoir ce qu'a fait la drogue sur ton jugement et sur ton comportement. Pour faire une analogie compréhensible par tous je prendrai l'exemple d'un vers/virus qu'il y dans ton ordinateur! En effet ton antivirus te dis "intrusion" (ce que l'on sait) mais dans la plupart des cas tu ne sais pas où est ce virus, (sais-tu ou agit la nicotine quand tu fumes?) qu'est-ce qu'il fait et quelles sont les modifications qu'il a induit sur le fonctionnement de ton PC, tu peut parfois voire quelque éffets (ça rame, ça s'etteint intempestivement...) mais parfois aussi tu ne le voit pas (et il envoie l'adresse d'un site de boulles à tout ton répertoire et donc ton tuteur!!). De par sa nature le virus est secret, comme une drogue.
Aprés ces quelques préliminaires j'aimerai décrire quelques drogues, les principales quantitativement et les plus communes et bien évidement les informations que je vais fournir ne sont pas exhaustives. En effet sachant que l'on peut faire toutes sortes d'associations et des préparations "perso" on ne peut pas connaître toutes les drogues et tous leur effets!

Les toxicomanies les plus répandues en France sont l’alcoolisme et le tabagisme. Loin derrière en terme de mortalité et de morbidité viennent le cannabis et l’héroïne. Depuis le début des années 80 cependant, réapparaissent sur le marché, d’anciens produits qui connaissent un regain d’intérêt de la part des consommateurs, comme le LSD ou les substances psychostimulantes dont les plus répandues sont la cocaïne et l’ecstasy.

Ces nouvelles substances, dont certaines sont en vente libre (poppers), donnent lieu à des complications inhabituelles chez des adultes jeunes (infarctus, accidents vasculaires) et interférent avec l’examen clinique, en particulier celui du polytraumatisé. Les études révèlent que près de 50% des accidentés du week-end sont sous l’emprise d’un produit modifiant le comportement. On peut classer les stupéfiants en 3 grandes familles : les psychodysleptiques, les psychoanaleptiques et les psycholeptiques.

Les Psychodysleptiques ou hallucinogènes

LSD 25 - Diéthyl amide de l’acide lysergique :
Le LSD 25 (ou «acide»), produit naturel de l’ergot de seigle, champignon parasite du seigle, est la plus puissante de toutes les substances hallucinogènes. Ses effets se mesurent en microgrammes ou en millionième de grammes comparativement aux effets de la cocaïne et de l’héroïne qui se mesurent en milligrammes. Le LSD est 100 fois plus puissant que la psilocybine et la psilocine et 4000 fois plus puissant que la mescaline. La dose nécessaire pour produire des hallucinations chez l’homme est de 25 microgrammes. Les doses habituelles du marché vont de 20 à 80 microgrammes par dose. Pour la DEA la dose moyenne est de 50 microgrammes.
Il s’agit d’un liquide incolore, inodore, non volatile, ressemblant à de l’eau, ou d’une poudre blanche cristalline insoluble dans l’eau, mais soluble dans des solvants organiques (éther, chloroforme, benzène). Il est conditionné sur des petits supports (buvard, sucre, décalcomanies, pilules).
Consommé par voie orale, le produit diffuse vers le cerveau où il déclenche des hallucinations. Une partie est stockée dans certains tissus (foie, intestin, rein) où son relargage progressif provoque des phénomènes de flash back. Le voyage au LSD se déroule en 3 phases : «le départ» (mydriase, tachycardie, nausées, vomissements, sensation de froid, vertiges), «le voyage» qui dure 5 à 8 heures et qui est marqué par des altérations des perceptions sensorielles (troubles visuels, déformation des distances et des contrastes, troubles de la perception de l’espace et du temps) qui peuvent être agréables (good trip) ou non (bad trip), et «le retour» à l’état normal, 8 à 12 heures après l’ingestion du toxique.
Si l’intoxication est modérée («bad trip»), le sujet est conscient et cohérent mais anxieux et apeuré. Il tient un discours de type paranoïaque. Il peut être larmoyant, agressif et autodestructeur. Des cauchemars retardés peuvent survenir (flash-back). A l’examen on retrouve des signes d’hyperactivité sympathique (mydriase, tachycardie, HTA, hyperthermie, tremblements). Le traitement repose sur l’isolement au calme. Une agitation importante ou une anxiété majeure peuvent être améliorées par l’emploi des benzodiazépines.
Si l’intoxication est massive on retrouve des convulsions, une hyperthermie maligne, une HTA, des troubles du rythme cardiaque. Sans traitement l’évolution se fait vers la rhabdomyolyse avec CIVD et IRA. Le traitement est purement symptomatique.

Remarques :Le LSD 25 ne produit pas de dépendance physique, ni de tolérance. Sa dose toxique est éminemment variable d’un sujet à l’autre.


PCP - Phencyclidine :
C’est un produit classé comme stupéfiant (art. L.627 du CSP). Il est désigné par diverses appellations : peace pill, angel dust, crystal, supergrass, killer weed, embalming fluid, rocket fuel.
Poudre blanche parfois brune en raison de la présence d’impuretés, conditionnée sous forme de tablettes, cristaux, comprimés, gélules ou solution. Le produit se fume (joint de cannabis imbibé), s’ingère, ou s’injecte par voie veineuse (une dose de 2 à 5 mg).
A faibles dose (< 5 mg) on constate une desinhibition, une confusion et un sentiment de bien être (peace pill). A dose moyenne (5 à 15 mg) l’agitation violente est prédominante. Elle s’accompagne d’hallucinations. Les patients sont difficiles à maîtriser, ils sont insensibles à la douleur et leurs forces sont décuplées.
A forte dose (1 g) l’intoxication mène au coma et à l’arrêt respiratoire.

Remarques : La dépendance physique et psychique sont importantes et rapides.

GHB - Gamma Hydroxy Butyrate :
Cette substance dérive d’un neuromédiateur inhibiteur naturellement présent dans le système nerveux central : le GABA. Elle est également dénommée : liquid ecstasy, liquid X, liquid E.
Rapidement absorbé par voie orale, les premiers effets se manifestent au bout de 10 à 20 mn et atteignent leur maximum en 60 mn. Ils persistent 1 à 2 heures.
A faible dose (1g), le produit à des effets semblable à l’alcool : euphorie, desinhibition, incoordination motrice et ataxie, rendant la conduite automobile particulièrement dangereuse. Au bout de quelques heures, le réveil se fait sans effets résiduels désagréables (pas de gueule de bois).
A plus forte dose (2 à 4 g) apparaît une somnolence qui peut aller jusqu’au coma (4 à 8 g) avec dépression respiratoire et convulsions.

Remarques : Il n’y a pas de dépendance physique, ni de syndrome de sevrage mais une dépendance psychologique marquée.

Psychoanaleptiques ou psychostimulants

COCAÏNE :
On estime que 25 à 30 millions d’américains ont essayé ce produit et que 5 à 6 millions d’entre eux en sont des consommateurs réguliers. C’est le produit illicite le plus fréquemment rencontré dans les services d’urgences aux USA. Les conséquences cardio-vasculaires de son utilisation constituent le motif de consultation le plus fréquent avec en premier lieu la douleur thoracique (40%)

La cocaïne, alcaloïde extrait de la feuille de coca, bloque la recapture présynaptique de la noradrénaline et de la dopamine. Elle possède en outre un effet anesthésique local. Sa consommation est à l’origine d’un état d’hyperadrénergie provoquant une vasoconstriction de l’ensemble des territoires vasculaires de l’organisme (tachycardie, hypertension, arythmie, hyperthermie, infarctus tissulaire, tremblements, convulsions, dépression respiratoire et collapsus). La cocaïne exerce un effet direct sur la circulation coronarienne en potentialisant l’action des catécholamines endogènes. Elle provoque à la fois une vasoconstriction coronarienne et une augmentation de la consommation d’oxygène par le bais de la tachycardie et de l’hypertension. Il en résulte une ischémie myocardique avec dépression de la contractilité, une augmentation de l’automaticité avec troubles du rythme et un risque accru de dissection aortique. La cocaïne possède un effet stabilisant de membrane par blocage du canal calcique rapide avec dépression de la dépolarisation et ralentissement de la conduction. Il en résulte un allongement de du PR, du QRS et du QT. La dépression des cellules pace-maker peut entraîner une bradycardie puis un arrêt cardiaque en asystolie. L’apparition d’Infarctus Du Myocarde (IDM) a été rapportée aux effets hémodynamiques de la cocaïne et à la formation de thrombus plaquettaires. La cocaïne augmente l’aggrégabilité plaquettaire et la formation de caillots. Ce mécanisme concernerait 25% des patients présentant un IDM après usage de cocaïne. Enfin, l’utilisation chronique de cocaïne entraînerait une accélération des processus d’artériosclérose.

La cocaïne est revendue coupée, ce qui diminue sa pureté. La cocaïne de la rue (street cocaïne) ne contient que 20% de produit pur. Les 80% restant sont des produits de coupage qui peuvent avoir leur propre toxicité cardio-vasculaire ou neurologique. Le principal dérivé de la cocaïne est le crack que l’on obtient en chauffant de la cocaïne avec du bicarbonate de sodium (baking soda) ou de l’ammoniac. Il se forme un précipité que l’on peut fumer et qui contient des adultérants. Son nom vient du bruit que font les cristaux lorsqu’ils sont chauffés.
Une centaine de cas d’IDM avérés survenus au décours de prise de cocaïne ont été rapportés dans la littérature. La plupart des patients sont des utilisateurs chroniques mais certain ont présenté un infarctus dès la première prise. Toutes les voies d’administration sont concernées. Le délai de survenue varie de quelques minutes à plus de 24 heures. La douleur peut être atypique (jusqu’à 50% des cas dans certaines séries). Effets sympathomimétiques de la cocaïne.


Les Amphétamines :
Amphétamine (Benzedrine®, Ortedine®, Ortenal®), dextroamphétamine (Maxiton®) et méthamphétamine (Méthedrine®, Tonedron®) sont regroupées sous le terme générique d’amphétamines. Leurs propriétés chimiques et leurs effets sont similaires au point que même un utilisateur averti a du mal à distinguer les produits entre eux.
Les effets recherchés consistent en une prolongation de l’éveil, un accroissement des possibilités physiques et psychiques, une augmentation de la confiance en soi, une anorexie et une excitation intellectuelle, motrice et sexuelle.
Les effets néfastes sont représentés par une HTA, une tachycardie, une bronchodilatation, une mydriase et un état dépressif apparaissant à court terme. A moyen et long terme on rencontre des troubles psychologiques ou psychiatriques souvent associées à des conduites compulsives agressives.
Les amphétamines se présentent sous forme de poudre blanche ou beige, de comprimés, de gélules ou de liquide. La consommation se fait par voie buccale, par inhalation, par prise nasale ou intraveineuse (speed freaks). Les formes illicites sont coupées (glucose, lactose, mannitol, sulfate de Mg, caféine, éphédrine, procaïne…) et contiennent en moyenne 40% de substance pure. La méthamphétamine est un stimulant puissant. Elle est connue sous le nom de «speed» ou «crystal» lorsqu’elle est ingérée, de «crank» lorsqu’elle est injectée, et d’«ice» lorsqu’elle est fumée. Toutes les formes sont dangereuses et ont des effets débilitants et des effets latéraux (irritabilité, insomnies, nausées, bouffées de chaleur, sécheresse de la bouche, transpiration, palpitations et hypertension).

NMDA - (méthylènedioxy-3-4-métamphétamine) - Ecstasy :
On estime que 5% des adultes jeunes ont consommé au moins une fois dans leur vie cette substance. Les consommateurs sont le plus souvent des adultes jeunes, de sexe masculin, bien insérés socialement, qui prennent le produit en association avec de l’alcool ou du cannabis (16). Ce produit est également dénommé pilule d’amour, essence, E, EX, XTC, Adam, MDM ou chamallow.
Le NMDA est un agoniste des récepteurs sérotoninergiques (libération massive de sérotonine et blocage de sa recapture avec épuisement des stocks de sérotonine) qui présente un effet biphasique (excitation initiale suivie d’une période de dépression). A très forte dose il existe un risque destruction des neurones sérotoninergiques.
Les effets recherchés consistent en une levée des inhibitions sociales avec augmentation du sens esthétique, de la spiritualité, de la sensualité et des besoins de contact intellectuels et physiques accompagnés d’une diminution de l’anxiété et du caractère défensif. La phase de désorientation (30 mn) est suivie d’un flash accompagné de mouvements spasmodiques de crispation. Ensuite survient une phase d’euphorie avec abolition de la sensation de fatigue (4 à 6 h) suivie d’une phase dépressive de 8 h, pouvant nécessiter une prise en charge psychiatrique.
Les effets latéraux consistent en une altération grave des performances professionnelles et de la conduite automobile, essentiellement par manque de sommeil. On note des effets sympathomimétiques (mydriase, sueurs, hypersialorrhée, tachypnée) et des hallucinations visuelles chez 20% des consommateurs.
Les complications aiguës sont représentées par des troubles du rythme cardiaque (TV) et une HTA qui constituent la 1ère cause de décès. L’hyperthermie (40°C à 42°C) est favorisée par le contexte (soirée «rave»). Rhabdomyolyse, CIVD, convulsions et insuffisance rénale aiguë peuvent également se rencontrer. On retrouve plus rarement des états de mal épileptiques, des infarctus du myocarde à coronaires saines ou des hyponatrémies sévères par intoxication à l’eau (3 décès rapportés). 
La molécule se présente sous la forme de comprimés de toutes les couleurs dosés entre 50 à 150 mg. La posologie minimale efficace est de 100 mg. La demie-vie d’élimination est de 12 heures. Il existe deux principaux produits dérivés : le 3-4-méthylène-dioxy-N-éthyl-amphétamine ou MDE ou Eve (durée d’action plus courte qui nécessite l’utilisation de doses supérieures) et la Méthamphétamine ou Cranck ou Speed (dose de 1 mg/kg potentiellement mortelle).

Herbal Ecstasy :
Substance en vente libre sur Internet et dans certains magasins spécialisés dans la vente de produits naturels. 150 millions de pilules auraient été vendues en 4 ans aux USA. Elle est aussi dénommée ultimate xphoria, cloud 9, ma huang.
Les effets attendus sont l’euphorie, l’augmentation de l’énergie, la perte de poids, l’augmentation de la sociabilité et l’accroissement des sensations sexuelles.
La toxicité se manifeste par une surstimulation du système cardiovasculaire (hypertension maligne, tachycardie, troubles du rythme ventriculaire) et du SNC (céphalées, vertiges, anxiété, insomnie, agitation, épisodes de psychose hallucinatoire, convulsions, AVC ischémiques ou hémorragiques ). On rencontre également des nausées, des vomissements, une soif intense, des sueurs, des troubles de la miction, une faiblesse musculaire, des trémulations ou une rhabdomyolyse. Ces effets peuvent être majorés par la présence de caféine.

Il s’agit de capsules de gélatine contenant de l’Ephéda mélangée à du Quarana ou à des noix de Kola. Il existe une autre présentation moins dangereuse où l’éphédrine est remplacée par des racines de Kawakawa.

Les Psycholeptiques ou dépresseurs centraux

La politique de substitution récemment mise en place a fortement fait chuter le nombre des overdoses mortelles à l’héroïne. Par contre, elle a fait apparaître une nouvelle forme de surdosage liée aux produits de substitution (5).

La méthadone :
Sa principale caractéristique est sa très longue durée d’action (24 heures). En cas d’intoxication, la naloxone est efficace mais doit être administrée de façon prolongée.

La buprÉnorphine - (Subutex®) :
C’est un produit fortement dosé, possédant une très forte affinité pour les récepteurs morphiniques. En cas de surdosage, la naloxone peut se révéler totalement ou partiellement inefficace, ce qui impose le recours à la ventilation mécanique après intubation.

Le Tramadol - (Topalgic®) :
C’est un analgésique morphinique qui la particularité d’inhiber la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, ce qui modifie le tableau de l’intoxication (agitation, confusion, tachycardie, poussées hypertensives, convulsions). Les effets toxiques sont majorés par la prise de fluoxétine ou d’amitriptiline qui sont des inhibiteurs du métabolisme du tramadol.

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4 janvier 2008

Big air et vidéos du reveillon...

Big air
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Despé...
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Recyclage...
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Ronde de l'appareil!
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21 novembre 2007

soirée Colloc' annif' Nina... sequelles!

11 novembre 2007

Grosse soirée à la colloc' 11/11/07


Fin de teuf collo'
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big éclatade de bouchons!
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WC de la colloc'
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teuf colloc'
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tectonik à la colloc'
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25 octobre 2007

attention: vidéos super con!


un bouchon, encore victime!
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Aurél, John (flo en fait) et moi avant une petite sortie...on se prepépare... et surtout ne pas oublier de s'echauffer le front!


marionnette chez les jumelles
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Il nous faut pas grand chose a julien et a moi pour faire les cons!! Une marionnette un synthétiseur qui a 20ans et c'est partis!


Pub Tonyfrontil
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Le seigneur des fourchettes
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Attrapez nous si vous pouvez
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24 octobre 2007

Voyage dans l'Est!

Quelques photos de ce petit voyage d'une quinzaine de jours vers l'Europe de l'Est avec Marie, Florent et moi! Je vais pas m'emmerder je met le lien où Florent a déja posé les principales photos de cette aventure qui se déroule l'été 2005!

http://brazildomaz.canalblog.com/albums/voyage_2005_italie_slovenie_hongrie/index.html

Merci Flo!!

Evidement on a été obligé de repartir l'année d'aprés (avec Louison, pseudo: "LOULOU"; Florent, pseudo: Maître de A à Z ou "MAZ" pour les intimes et moi Gabriel, pseudo: gabriel...) mais avec un peut plus de punch et munis de nos trois cerveaux à Q.I. negatif pour refaire un petit tour dans l'Est, cette fois on passe l'Italie, l'Autriche, l'Allemagne, la Slovaquie, la Hongrie, la Slovenie, la Croatie grâce au bolide de Florent (et il faut bien le dire au copilotage de compet')! Là encore je vais piquer le boulot de Florent pour vous faire voir un apperçu de notre "travel" via un vidéo-montage que Maz sait si bien faire!! L'album photo je le mettrai en ligne plus tard et il va y avoir un gros travail de selection parce qu'il y a moulte et moulte photos!


Top fun
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Voici les 3 liens de la vidéos et il a appelé ça "la déglingue" mais c'etait plus "la déglingue stomacale" qu'autre chose enfin je dis ça je dis rien...

http://www.dailymotion.com/video/x1sso1_1la-deglingue  http://www.dailymotion.com/video/x1t0ye_2la-deglingue_blog  http://www.dailymotion.com/video/x1t3jz_3la-deglingue_blog

24 octobre 2007

A l'étranger!

yop! allez voir les blogs de Florent (il est rentré en France mais allez quand même voire son blog il est funny!), Julien, John (Florian), Aurèl', Dam's et de Pauline, ils sont tous à l'étranger ces salauds...se fartera bien qui se fartera le dernier (verbe "farter" pour les cervolants)! c'est pas juste, Florent va se farter deux fois pire parce qu'il va repartir avec moi...HéHé...et on va pas faire semblant... :p! d'ailleur faut qu'on se bouge l'oignon pour organiser, monter des dossiers et trouver un financement (qq million de $) pour ce fameux voyage...
C'est la merde on se retrouve comme des cons avec Julie à Montpel'.... no friends...

21 octobre 2007

Bienvenue!

Salut à tous! Voila un petit blog pour partager quelques photos et quelques vidéos et surtout pour y mettre les futures... dans l'éventualité d'un petit voyage de type "trip à l'autre bout du monde", ça me permettra de déposer ici quelques preuves de l'aventure!!
J'aimerai également y mettre un dossier d'information concernant les drogues, produit et synthèse des études que je fais où je tenterai d'être le moins subjectif possible. Faites moi part de vos observations, questions et remarques!
Evidemment on y trouvera bientot des vidéos de nos exploits... contest de fourchettes, de glaçons, ou encore de tout autres evenements d'importance majeure... bientôt, aussi, un calendrier genre "dieu du mojito" avec MAZ, Fredophile et moi même; depuis le temps qu'on le dis on va le faire!!!

N'hésitez pas à me contacter!!

visitez aussi

www.kalinergy.fr

http://www.doyoubuzz.com/joly-gabriel

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